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Prendre la décision ne suffit pas :

Arrêter de fumer c’est vraiment difficile. Il y a d’abord la décision consciente « J’ai décidé de m’arrêter de fumer ». Mais le corps, les émotions viennent se mettre en opposition à cette décision. Alors on essaie de s’aider avec des patchs, des gommes, des substituts, mais cela ne suffit pas.

 

Pourquoi ?

Parce que si les gommes, les patchs, etc., prennent en compte la dépendance chimique, ils ne peuvent rien contre la dépendance émotionnelle.

Or la dépendance émotionnelle est la plus difficile à contrôler. Elle guide nos pulsions, et lorsque l'on cherche à s’opposer à nos pulsions notre Cerveau Emotionnel nous plonge dans une souffrance physique et morale qui peut être extrême, sans compter que cette souffrance se cumule avec nos soucis quotidiens. Et c’est pour ça qu’on « craque », qu’on n’y arrive pas, pas parce qu’on manque de volonté mais parce qu’on est la victime, le jouet d’une partie de notre cerveau qui s’oppose au changement. Or ce Cerveau Emotionnel s’est fait une perception du tabac depuis la toute première fois où on a commencé à fumer.

 

Pourquoi commence-t-on à fumer ?

On ne commence pas à fumer par hasard :

  • C’est peut-être tout simplement parce que nous grandissons dans une famille où on fume et que c’est ainsi notre façon inconsciente d’affirmer qu’on fait bien partie de notre groupe social, à l’époque de notre vie où nos hormones nous poussent à quitter le nid familial.
  • C’est peut-être parce que c’est au contraire un moyen de se rebeller contre ses parents, les institutions, etc. au moment de l’adolescence.
  • C’est peut-être parce que c’est là le meilleur moyen de faire partie d’un groupe : les élèves cools, ou ceux qui font une pause au travail, etc.

Et tous ces éléments font partie de l’équation, car ils sont chargés de ces choix initiaux qui se sont depuis cumulés avec tous ces moments de plaisirs qui ont accompagné le tabac: avec le petit café après le repas, le soir après un travail qui ne nous rend pas forcément heureux, après l’amour, au cours de repas entre copains ou en famille, en attendant quelqu’un, pour tromper l’ennui, etc.

 

Quelles solutions :

Il va donc falloir surtout agir sur la pulsion, sur la dimension émotionnelle de la dépendance et pour cela je vais vous indiquer quelques astuces. Et si cela ne suffit pas, n’oubliez pas qu’avec l’EPRTH™ vous pourrez vous débarrasser de ces pulsions en maximum 5 séances (si vous voulez trouver un thérapeute EPRTH™ près de chez vous, suivez ce lien www.eprth.com et rendez-vous sur l'Annuaire).

 

Les Huiles essentielles :

  1. Mettre 2 gouttes de ce mélange au milieu de votre front et 2 gouttes à l’intérieur de vos poignets pour que vous puissiez les respirer plusieurs fois par jour (sans limite) surtout chaque fois que vous aurez envie de fumer :

HE Angélique

HE Romarin à Verbénone

HE Santal de Calédonie

HE Eucalyptus Radiata

HE Cyprès de Provence

HE Camomille Romaine

HE Menthe des Champs

 

  1. Si vous avez un diffuseur vous pouvez diffuser cette huile essentielle chez vous pour vous aider à contrôler vos envies de tabac :

HE Orange Douce

 

Quelques plantes :

  • La Stevia permet de limiter les pulsions et elle remplace avantageusement le sucre, ce qui vous rendra moins nerveux(se).
  • La Grande Bardane (Arctium Lappa) favorise la détoxification.
  • Le Millepertuis vous détendra et vous permettra de vous libérer de votre dépendance à la nicotine. Elle évitera la tristesse, la déprime.
  • La Valériane vous détendra et donnera au tabac un mauvais gout.
  • La Verveine vous aidera à combattre le stress.
  • Le Griffonia. Sa graine permet de lutter contre les effets dépressifs du sevrage tabagique. Cette plante vous rendra moins nerveux(se), moins anxieux(se) et vous évitera de vous ruer sur les cookies.
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